LA POÉSIE AUTREMENT !
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PEU IMPORTENT LES MOTS
TANT EN COMPTE L’ESPRIT
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Voici le TOME 3 d’un collection de recueils de poèmes qui renouvelle enfin le genre en portant un regard sur notre monde, du général à l’intime, où nous ne pouvons que nous sentir concernés.
Fresque des Temps Modernes – Tome 3, de « L’Éclaireur »
Vient enrichir une collection, toujours en cours d’écriture, dont une trentaine volumes sont déjà achevés et paraîtront prochainement.
Couverture souple
** pages
ISBN ***
Disponible sur : http://www.bod.fr/index.php?id=4894&&bookId=1928911
Possibilité de dédicace en commandant par l’onglet contact de ce site.
TABLE DES TEXTES / EXTRAITS
PRÉSENTATION :
« Le poète, bien plus que tous les autres, perçoit l’indicible de la vie, sur l’aile de ce temps, qui le traverse. »
« Fresque des temps modernes – Tome 3» vient enrichir cette galerie de tableaux poétiques de nouvelles couleurs.
Des poèmes originaux, philosophiques, intimistes, intemporels, dans un style d’écriture moderne, recherché et maîtrisé.
La lecture intense, la précision des mots, le ton souvent grave, sont un électrochoc sur bien des certitudes.
N’y cherchez pas de réponse, vous y trouverez des clefs.
A feuilleter au hasard des pages, poser puis reprendre, laissant l’imaginaire et le subjectif s’associer au vécu pour trouver toute la richesse des textes.
Cette collection originale exprime la vision du Poète sur la vie, les relations humaines, les ressentis personnels, et la vibration globale autour de nous.
Ne vous attachez pas aux mots,
Ne voyez pas l’image,
Sentez-la !
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Laissez-vous surprendre.
BONNE LECTURE, …
… et BONNE INSPIRATION !
L’AUTEUR
L’ ÉCLAIREUR
Poète, parolier, auteur, scénariste, L’ÉCLAIREUR est un personnage aux multiples facettes.
Durant plus de trente ans d’un travail poétique solitaire où le classicisme a toujours teinté sa plume, il a visité l’ensemble des techniques de versification, jusqu’aux vers libres et l’écriture de chansons, en passant par le café théâtre.
Membre actif de plusieurs associations épistolaires, il a, par ailleurs, expérimenté l’écriture romanesque, théâtrale, l’adaptation cinématographique, ainsi que l’écriture de synopsis et de scénarios.
Enrichi de toutes ces expériences, attentif à la sonorité des mots, rigoureux sur leur sens, la syntaxe et la pureté du vocabulaire, il cisèle et peaufine le verbe en véritable artisan de la littérature dans la tradition culturelle régionale.
L’OEUVRE POÉTIQUE par Victor VARJAC
………….. »Entre l’aube et la chute »…………
Le poète, bien plus que tous les autres, perçoit l’indicible de la vie, sur l’aile de ce temps, qui le traverse.
A la proue du navire de l’existence, il distingue, le premier, ce que l’avenir nous prépare, et le premier, il affrontera et souvent subira les changements annoncés, sans jamais s’y soustraire.
Dans ses recueils, l’Éclaireur semble marquer une pause ; une respiration.
C’est en « spectateur actif » qu’il va offrir au lecteur un véritable panorama des jours.
Après avoir « décodé » le message ou le piège, le poète restitue la substance et la confie aux hommes qui passent.
Mais qui s’arrête, qui écoute celui qui voit, celui qui sait, personne … ou presque.
L’histoire nous enseigne que de nombreux poètes furent les vigies placées au sommet de la scène où allait se dérouler la pièce tragique du monde.
Prophète des jours et vagabond des mots, l’Éclaireur souligne les dangers et les fissures dont notre société est si friande : le chômage, le crédit, les huissiers, la chute infernale où l’Avoir dévore l’Être …
Sous le joug quotidien de la misère banalisée, le bon peuple « d’en bas » ne peut que serrer les dents.
Subir en silence semble la loi à laquelle se soumet la multitude.
Les anonymes, les sans grade, ceux qui ne font pas d’ombre sur le sol, disparaissent sans un cri, avec cette élégance que les bourreaux appellent « savoir vivre ».
Mais ici, nous ne parlons, hélas, que de la mort. Et le poète sait, car le poète ressent jusqu’au fond de sa vie, la blessure mortelle et la chute effroyable du corps qu’on s’empresse de recouvrir d’un linceul de poussière, où l’oubli ne tarde pas à bailler.
L’auteur ose, dénonce et avertit les hommes des guets-apens, des tortures.
Mais comment s’évader d’une prison qui ne possède pas de murs ?
Et si la solitude était pluriel ?
Si le délaissé était plusieurs ?
Sans doute est-il des millions …
Alors une aube nouvelle, avec toutes ses mains, déchirerait le voile noir de la haute finance …
La rentabilité n’aurait plus sa ration journalière de sueur, de larmes et de sang … elle tomberait d’elle-même, et la joie des hommes enchaînés planterait la lance de la vie dans les entrailles du capital assassin.
L’amour pourrait enfin s’exprimer.
L’avenir ferait un soleil aux lèvres des enfants.
Les rires et la lumière viendraient enfin s’asseoir sur le devenir de nos âmes.
L’Éclaireur nous emporte au-delà de ces murs que l’on croyait infranchissables.